Mayotte en vrac et en vrai

Mayotte la colorée,

 

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Mayotte la vivante,

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mahoraises

Mayotte, ses bidonvilles et baraques en tôle,

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Mayotte et ses clandestins Comoriens reconduits par les patrouilles maritimes, bondées de femmes et d’enfants,

Mayotte la surprenante,DSC_0025

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Mayotte et ses beaux enfants,

 

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Mayotte et ses routes défoncées, ses nids de poule trous d’autruche, ses taxis-brousse, ses zébus,

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Mayotte mon amour…

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Petite Terre# Mayotte

Aujourd’hui j’avais envie de vous faire partager une aventure que l’on a vécue il y a quelques années avec Monsieur S.

Un petit bijou à une quinzaine d’heures de vol de Paris, un petit bout de terre entre Madagascar et Le continent africain: Mayotte.

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Après avoir enchaîné trois films, quelques siestes et une somme incalculée de repas, nous apercevons enfin la piste d’atterrissage de Pamandzi sur Petite Terre.

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Pour ceux qui n’aiment pas l’avion, deux solutions s’offrent à vous:

  • calculer la dose de Lexomil, atterrissage inclus.
  • un bandeau noir avec interdiction formelle de regarder par le hublot (mais vous raterez quand même quelque chose de fabuleux…)

La piste de l’aéroport de Pamandzi est sans doute la plus petite au monde, alors on serre les fesses et on se concentre sur la beauté du lagon…

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Le premier contact avec l’île est éprouvant: on quitte le mois de février picard pour affronter une chaleur humide accablante. Mais dès qu’on enlève nos polaires moumoute on se sent déjà mieux…

On récupère nos bagages sous un hangar où un énorme ventilateur souffle un air chaud et moite. Même le tapis à bagages fonctionne au ralenti. Ici, le temps s’arrête, le silence règne et on aperçoit derrière la clôture de l’aéroport des mahoraises qui composent des colliers de fleurs de bienvenue.

La verdure foisonne, le ciel m’éblouit et l’océan me lèche quasiment les orteils. On a connu pire comme moment.

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On file directement à la plage de Moya parce qu’on ne veut pas en perdre une miette, on n’est pas là pour enfiler des perles! Et quelle surprise nous attend en arrivant…

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On chausse nos palmes, masques et tubas et on part à la rencontre de ces êtres exceptionnels. On se laisse surprendre par leurs formes géantes, on écarquille les yeux comme des gamins, on les effleure et on essaie de les suivre, avides d’en savoir plus sur elles.

On fait un peu de farniente à Moya entre les baobabs, le lagon, les roussettes qui nous survolent et encore sous l’excitation de notre rencontre avec les tortues marines.

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Le temps n’est pas au beau fixe mais on décide d’arpenter le nord de Petite Terre. Nous voilà donc partis à la rencontre du lac Dziani: le cratère d’un volcan lui sert de lit et le souffre contenu dans l’eau lui donne une couleur verdâtre étonnante.

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crédit photo: be.france

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On quitte alors Petite Terre par la barge pour rejoindre Grande Terre, mais ça, c’est une autre histoire…

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